ARMOIRE AUX SOUVENIRS TIROIR 3



MARATHON NEW YORK 1992

Voila le groupe de marathoniens qui doit partir à New York. Nous avons été conviés à l’Hôtel Frantour Suffren à Paris, près de la Tour Eiffel pour préparer Paris Versailles. Malheureusement, j’ai une contracture à un mollet et je marcherai pendant quinze kilomètres, c’est long. Mais un Vieux n’abandonne jamais (dusse-t-il en mourir). Corine, la future épouse de Jean-Christophe HERY, ceux qui viendront à Nazaré pour leur voyage de noce, m’a massé à l’arrivée.
Une seule coureuse participera au marathon, c’est la troisième en partant de la gauche au deuxième rang, il s’agit d’Isabelle LACROUX. Malgré son gros orteil cassé, elle terminera la course.
Une deuxième femme nous accompagnait, il s’agit de Françoise GALTIER. Elle avait remplacé Jean COTE, appelé à d’autres fonctions pour les Jeux Méditerranéens. C’est la troisième en partant de la droite au deuxième rang, au-dessus de Daniel JEGADEN.
Alain CAHEN, le DRH de PRG, futur Directeur de Région, était des nôtres également. Je me souviens qu’il prit ma défense lors d’une dispute que j’eus avec Françoise GALTIER pour une photo manquée. Les circonstances de ce loupé sont troublantes…..
Votre serviteur est entre Jeannot LINDER (crocodile Dundee) et Daniel.

Autre photo parue dans le Midi Libre.
Le plus rapide d’entre nous tous, Patrick MERCIER de Rennes, a terminé en 2h25 avec la première féminine, très discret, il est au troisième rang, au milieu. Derrière moi Gérard CASTEL, un “pays” d’Ouveillan, à 10 km de Narbonne de PRG. Daniel a, semble-t-il, manqué lui aussi le rendez-vous de la photo. Ah ces membres de l’ACCF, ils ne sont vraiment pas fiables.


Toujours en 1992, à l’aéroport JFK juste avant le retour en France, avec Jeannot LINDER, Jean-Marc VISEUR de Lille et (je crois), Denis DODE de PRG qui n’a pas pu courir à cause d’une blessure.

En 89, j’avais réalisé 3h39m42s, en 92 j’améliore mon temps, malgré une préparation difficile à cause d’une contracture, de 50 secondes. C’est l’expérience. Je suis constant dans la médiocrité.




Michel VIEUX