L'ANCETRE DE LA ROUE DE GEOMETRE

Le compteur kilométrique : un projet de Léonard de Vinci présenté dans le château du Clos Lucé à Amboise.





En progressant la roue de la brouette entraîne un plateau horizontal cranté percé de trous. A chaque tour de roue une bille tombe dans la boite, il suffit de multiplier le nombre de billes par la circonférence de la roue pour connaître la distance parcourue.

 Combien faut-il de billes pour calculer la distance d'un marathon?

LA COURSE DE LEGENDE

 


Médaille obtenue par Michel MONTANIER à l'issue de sa participation à la 49ème édition de Marvejols/Mende après 3h43 mn de marche.

LA FRANCE VUE DU CIEL


Je ne vais pas aborder l'aspect sportif, mais le Tour de France qui vient de s'achever a donné une nouvelle fois l'occasion à France Télévisions de nous offrir un spectacle de choix avec le survol des sites remarquables que compte notre pays. Le feu d'artifice a été donné  lors de la dernière étape avec l'arrivée sur les Champs Elysées. En effet, le survol du sud-ouest de l'Ile-de-France et de Paris sous un magnifique ciel bleu avec des vues sur des monuments aux architectures les plus diverses a été un spectacle inoubliable. Le peloton traversant la Cour Carré puis la Cour Napoléon du Louvres a été un moment très fort de ce survol.

France Télévisions une fois de plus nous a permis pendant 3 semaines de survoler gratuitement quelques uns des joyaux de notre patrimoine. J'ose espérer que la suppression de la taxe audiovisuelle ne remettra pas en cause cette possibilité de nous offrir de telles découvertes !

Robert


A PROPOS DE L'AUTODROME

 

Je n'ai jamais couru sur l'autodrome de Monthléry, j'aurais pu en Juin 1966, j'étais au départ d'une course en vallée de Chevreuse, j'ai crevé dès le début. Dommage, l'arrivée était jugée à Monthléry et les frères Guyot avaient fait " un et deux ". Ça m'a coûté ma sélection pour le Championnat du monde des Cheminots qui se déroulait en Allemagne de l'Est en juillet. Je suis allé à l'autodrome de Linas-Monthléry le 21 mai 1978 pour assister à l'arrivée du 75ème Bordeaux-Paris gagné par le Belge Herman Van Springel.


Jean-Pierre GREAU🚴🚴🚴🚴🚴

LE SOUFFLET DE JUILLET

 

SOUFFLET

N° 356 juillet 2022

(Parution mensuelle de l'A.C.C.F. envoyé aux adhérents le 19 juillet)

  • Tout d'abord toutes nos félicitations à Malika et Jacques qui avec la venue de Louison le 30 juin comptent désormais 13 petits enfants, mais aussi 3 arrières petits enfants.
  • Prochain objectif pour Lina le samedi 30 juillet à Megève avec sa participation à la Dooble Cette course est inédite : 1 course avec 2 distances : 8 km / 16 km. Le choix de la distance ne s’effectue pas au départ mais durant la course ! Explication : à l’issue des 8 premiers kilomètres, les participants peuvent s’arrêter ou ont la possibilité de basculer sur un second parcours, leur permettant de parcourir 8 Km supplémentaires, soit 16 Km au total. C’est donc 1 course avec 2 distances, qui met en scène 2 massifs mégevans : le Mt d’Arbois et le Jaillet.La première boucle de 8 km, emmène sur le massif du Mont d’Arbois en passant par le chemin des Pettoraux et la piste des Mandarines. Pour la seconde et dernière boucle, vous partirez sur les pentes du Jaillet au travers différents alpages de montagne. L’ambiance est bucolique et la vue exceptionnelle sur le Mont-Blanc, avec en dessous le village de Megève qui s’étend. Magique !!! Au travers ces deux boucles vous aurez un aperçu du caractère exceptionnel que présente Megève et son environnement pour le trail et plus globalement la randonnée.La course est ouverte aux traileurs mais aussi aux randonneurs.
  • Nous sommes toujours 41 à jour du règlement de la cotisation 2022. Par rapport à 2021 il nous manque une cotisation famille comme il s'agit de notre plus jeune couple nous leur pardonnons ce petit retard.
  • Dernier point sur l'A.G. du 16 au 23 octobre à Quiberon, pour le moment nos comptons 27 participants (10 sur les 3 jours et 17 pour la semaine). Merci aux retardataires qui s'étaient inscrits pour Saint- Mandrier de bien vouloir nous faire part de leur intention, l'inscription demeure aussi possible pour d'autres amicalistes intéressés par ce séjour en Bretagne.

Vos contacts:

Email de Jean-Claude : Jean-claude.simon649@orange.fr ou uscorg@club-internet.fr - portable 06 84 05 10 15

Email de Robert: ghysrob@orange.fr - portable 06 70 58 39 25

  • Un coup de chapeau ou plutôt un coup de "casquette rouge" à notre secrétaire qui, afin de dynamiser la communication interne au sein de l'amicale, vient de créer un groupe A.C.C.F. sur Facebook.

  • Rappelons que la prochaine réunion de bureau est programmée le mardi 20 septembre à Oissel.


Robert


FETE DE LA MER A COURSEULLES




Superbe journée pour la SNSM de Courseulles sur Mer en ce dimanche 17 juillet.
Amicalement.
P°/Gérard

SUR LA ROUTE DE TOUR DE FRANCE

 Samedi 16 juillet lors de l'étape Saint Etienne/Mende dans la Côte de la Croix Neuve - Montée Jalabert.


Michel Montanier avec son fils William bien avant le passage des coureurs.


Pendant, ils sont sur la droite . . .



 

Après


DEPUIS AIX LES BAINS

 Bonjour

Petite retrouvailles et baignade à Aix les Bains avec Monique et Jean-Claude. Cela pourrait ressembler à un repérage pour une éventuelle future AG, tout s y prête en toute saison.....

En fait les Simon sont en vacances à Aix les Bains et avons passé la journée ensemble en mangeant au bord du lac.

A bientôt
Bises de Christelle, Bruno, Monique et Jean-Claude.





CARTE POSTALE DE COURSEULLES . . . .

Ce n'est pas un envoi de Lina et Gérard mais celui de deux amies en vacances à Ouistreham.
Robert


COOL A BLAINVILLE



 

Aujourd'hui,  j'ai couru à Blainville avec ma couturière en entraînement cool.
Je me réserve pour le 30 juillet à Megève en espérant que la chaleur sera moindre.

Lina le 14 juillet

ECHARPE TRICOLORE

Je l'ai emprunté à un copain qui est élu municipal. C'était  à l'occasion d'une journée souvenir en l'honneur de résistants sur 5 villages du St Hilairois. On a chanté sur les 5 sites avec la chorale.

La photo, c'était pour rigoler.
A+

J.R.


DE CRISTELLE ET BRUNO



De retour de Rome  nous vous adressons cette photo souvenirs. Nous avons passons de très belles vacances, selon la tradition nous avons jeté nos pièces. 

Nous vous souhaitons de bonnes vacances. 

Bises 

Christelle et Bruno 

COCORICO ! ! ! !


 

NOTRE SECRETAIRE S'ENTRAINE ! ! ! !

 


Pour "Vingt Mille Lieues sous les mers" ou "l'Odyssée de l'espace"?

R.D.B.P. ! ! ! !

 


Samedi dernier lors d'une randonnée avec un collègue cheminot, ce dernier m'a entraîné dans le cimetière de Saint-Yon (91) non pas pour y trouver un peu d'eau fraîche mais pour me montrer la tombe de  Maurice Morel (1885-1972), resté dans l'histoire sous le surnom de Roi du bout dur. Rien de grivois dans ce sobriquet, inscrit sur le fronton du monumental mausolée en granit rose  dans l'abréviation R.D.B.D. Il s'agit de l'invention qui assura gloire et fortune à Maurice Morel : un bout de tissu imbibé de colle destiné à renforcer l'extrémité des chaussures, invention à l'origine des chaussures de sécurité.

Enfant pauvre de Normandie, analphabète, il s'acharne au travail. A 20 ans, il est promu plus jeune bottier de France. Son invention, mise au point dans un atelier de fortune d'Arpajon, où il travaille dans les usines de chaussures André, lui permet de s'émanciper. Il ouvre des fabriques dans le monde entier, jusqu'à New York. En 1939, il achète le château de Saint-Yon, où il passe le restant de ses jours, richissime et toujours travaillé par le démon de l'invention. Il met au point la peinture qui ne rouille pas. Il se fait enterrer dans son village. Il a fait construire son mausolée sur une partie du terrain qu'il a cédé à la commune, raconte un historien local. La légende raconte qu'il s'est fait enterrer avec plusieurs caisses de vin. »

AUX PORTES DE L'ESSONNE


A moins de 5 kilomètres de Leuville sur Orge sur les hauteurs, se trouve un géant silencieux, presque oublié mais toujours bien là: le légendaire autodrome de Linas-Monthléry propriété de l'UTAC (Union technique de l'automobile, du motocycle et du cycle) qui y réalise des essais quotidiens pour les fabricants et des homologations de l'Etat.

Classé "Patrimoine du XXème siècle", le site se compose de 2 espaces: l'anneau de vitesse et le circuit routier avec sa célèbre côte Lapize (pente à 12 % après une épingle à 140°). Les deux espaces forment un circuit mythique qui a fait les plus belles heures de l'histoire de l'automobile française mais aussi  avec  de nombreuses courses cyclistes dès son inauguration, notamment le 1er octobre1924 quand le Belge Léon Vanderstuyft a établi sur l'anneau de vitesse le record du monde à vélo derrière abri à 107,7 km/h,  puis le Championnat du Monde sur route en 1933, 21 éditions des Championnats de France entre 1928 et 1959 et plus récemment en 1997.  Les rendez-vous de Monthléry étaient la grande fête du vélo en Ile-de-France. Le patron de l'US Métro Transports, Rémy Turgis, est un habitué des lieux, un fidèle parmi les fidèles qui fait subsister le vélo amateur sur l'autodrome. Petite question à Jacques Besson, Didier Montarou, Jean-Pierre Gréau et Jean-Pierre Vouillemy, ont-ils eu l'occasion de courir sur ce circuit?

Dans les années 80, le site était également ouvert à la course à pied et le 15 juin 1986 j'ai eu l'occasion de le parcourir  avec un ex-amicaliste, Daniel Hédin du dépôt de Paris sur un semi-marathon (2 boucles donc 2 fois la côte Lapize . . .) lors de la 3ème édition de la Ronde Verte organisée par la Snecma Sports Corbeil.




Avec Daniel Hédin le 29 mars 1987 lors de la Corrida de Presles en Brie, un 15 km sous un temps exécrable.

Robert (avec des informations puisées dans un article du magazine VELO).








D'INGRID ET MICHEL

 


Compte rendu de notre voyage à Cuba du 09 Avril au 27 Avril 2022.


Nous décidons donc, après ces 2 années de Covid, de partir à Cuba pour 2 semaines et demi.

Avant le départ, nous avions un peu de stress, car il fallait faire un test PCR dans les 72 heures avant le départ pour Cuba. 2 jours avant, nous apprenions que le test PCR n’était plus obligatoire. Nous étions soulagés !

Nous sommes partis de Roissy à 11h00 le 09 Avril, avec 2 valises de 23 kilos chacune, comprenant nos affaires personnelles, mais aussi des médicaments, des produits d’hygiène, des produits alimentaires.

En effet, Cuba a vacciné sa population, avec ses propres vaccins, Abdala et Soberana, mais manque cruellement de médicaments et les produits d’hygiène, les produits alimentaires, sauf les produits de base, sont chers, et beaucoup de Cubains y ont accès très difficilement.

La pandémie, qui a fait chuter le nombre de touristes, principale source de devises pour le pays, le blocus américain qui empêche Cuba de commercer normalement avec les autres pays, qui étouffe l’économie, rendent la situation actuelle très douloureuse pour le peuple cubain.

La rareté des produits alimentaires et énergétiques conduit à une très forte inflation des prix.

(1 € au change officiel vaut 25 pesos cubains / 1 € au taux non officiel peut s’échanger dans la rue à plus de 100 pesos cubains) et comme quasiment tous les produits, sauf les produits de base, se payent en devises, leur accès est impossible à une majorité de cubains. Ces derniers sont déjà obligés de faire des queues de plusieurs heures pour s’approvisionner seulement en produits de base (riz, poulet ….).

Donc, c’est dans cette situation, que nous sommes arrivés à La Havane, à 15h00 heure cubaine.

Après 15 kms en taxi, depuis l’aéroport, nous sommes arrivés à notre chambre d’hôte, chez Eduardo, située en plein centre ville, tout près du Musée de la Révolution.

Première sortie dans la ville, nous constatons qu’il y a très peu de touristes dans la « Habana Vieja » et que les cubains portent le masque dans la rue par mesures de prévention.

Dans la « Calle Obispo », principale rue touristique de La Havane, des restaurants sont fermés et pas de musique dans les établissements ouverts. C’est pas très enthousiasmant !

Le soir, nous trouvons un restaurant pour dîner. Malgré la rareté des produits alimentaires nous faisons un repas convenable. En effet, Cuba a un besoin urgent de devises, donc le touriste est relativement bien soigné.

Nous décidons pendant notre séjour de tout payer en Euros, quand c’est possible. Nous ne voulons pas participer à cette surenchère dans l’échange de devises, qui déprécie le peso cubain, et à l’arrivée rend la vie plus difficile à une majorité de cubains.

Le lendemain soir nous assistons à un concert cubain dans une rue de La Havane, « Avenida de Italia », avec une grand scène et jeux de lumière, tout cela payé par le gouvernement italien pour témoigner sa reconnaissance à Cuba pour ses médecins qui sont venus en Lombardie renforcer les équipes médicales italiennes sur place au moment où l’épidémie du Covid était à son plus haut niveau.

Plus d’un millier de personnes présentes, surtout des jeunes Cubains. Bonne ambiance, nous sommes bien reçus, des petits mots sympathiques par ci par là. Le touriste est toujours bienvenu à Cuba.

Aucune animosité, pas de gaz lacrymogène comme chez nous pour calmer des gens excités. Les policiers sont plutôt décontractés.

On est rentré à minuit passé sans problème en se sentant en sécurité. C’est çà Cuba.

Les jours suivants, dans les rues de La Havane, nous avons rencontré plus de touristes, des restaurants ouverts avec ambiance musicale. La vie reprenait heureusement.

Après une semaine d’immersion dans la société cubaine à La Havane, départ pour Cienfuegos, situé à 230 kms de La Havane. Nous préférons le bus, très économique, mais comme nous sommes encore chargés avec nos valises, malgré un peu de délestage, nous optons pour un taxi collectif de porte à porte (30 € par personne). Arrivée à notre chambre d’hôte qui est tenue par Osiel et Mildrey, un couple d’architectes, très accueillant.

Dans la soirée nous allons chez Santiago, un ami artiste peintre, et Mary, son épouse. Nous leur avons amené des médicaments ainsi que des aliments (condiments, lait en poudre et fromage) qu’ils nous avaient demandés. Ils sont bien sûr ravis de nous recevoir et nous passons la soirée ensemble.

A Cienfuegos c’est la semaine culturelle, des concerts sont prévus tous les soirs, mais tout ne se passe pas comme prévu.

Un soir Santiago et Mary nous invitent à un concert au Théâtre Terry, concert annulé à cause d’une coupure de courant, conséquence de la pénurie d’énergie dont soufre Cuba.

Un autre soir, avec une amie cubaine, nous projetons d’aller à un concert à un autre endroit. Même chose, concert annulé. Les cubains sont résignés, et tout le monde s’en va sans animosité.

De notre côté nous avons passé la soirée dans un cabaret « Costa Sur » en pleine air, avec une super ambiance. 300 pesos cubains, soit 3 € au cours non officiel, pour une bouteille de rhum et du coca cola.

Nous n’avons bien sûr pas tout bu et nous avons ramené la bouteille à la chambre d’hôte, où nous avons trinqué le lendemain avec le papy de la maison.

D’ailleurs à la chambre d’hôte on y est un peu comme à la maison, on fait même un peu partie de la famille.

Après une belle semaine à Cienfuegos, plage tous les jours à Rancho Luna, à 15 kms de la ville, et les soirées passées avec les amis, nous repartons à La Havane chez Eduardo, toujours en taxi.

Nous passons nos dernières journées à dénicher des produits artisanaux pour la fête des Lilas, fête annuelle de Vitry-sur-Seine, où nous avons un stand.

Dans un petit restaurant, un peu excentré du centre touristique de La Havane, où nous avons pris l’habitude de dîner, nous fêtons, avec le personnel de l’établissement, l’anniversaire d’Ingrid. Très simple et sympathique.

Notre séjour s’achève, encore un merveilleux moment passé chez les Cubains.

Nous projetons d’y retourner encore en Novembre.






Ingrid et Michel

UNE DE PLUS !


Et oui, une médaille de plus obtenue hier soi à mon dernier cours de natation. Heureusement qu'elles ne prennent pas trop de place dans ma collection.

Gérard est très heureux que je sois rentrée lundi mais malheureusement il est covidé, donc prudence! ! !. Sa rééducation de son genou progresse lentement mais sûrement.

Bonnes vacances à tous les amicalistes.
Sportivement.
Lina et Gérard