DIDIER NOUS INFORME.

 

Belle sortie ce samedi avec les jeunes de l'école vélo du club: 45 kilomètres tranquille car c'était la reprise pour les enfants. Par contre demain matin sortie individuelle en respectant les consignes du rayon de 20 kilomètres et de la durée de 3 heures.

Je viens d'acquérir un vélo gravel qui permet d'alterner des sorties routes et sentiers, ça ressemble à un vélo de cyclocross. Il y a maintenant des clubs qui organisent des BRM parcours gravel. Au club nous avons une commission gravel qui propose environ une sortie une fois par mois. Je vais tester un parcours mardi prochain si il fait beau.

Didier


LA BARKLEY

 VOYAGE AU BOUT DE LA DOULEUR.

Le magazine l'Equipe du 21 novembre 2020.


La Barkley est une course qui se déroule chaque année au début du printemps, dans l'est de l'état du Tennessee, au sud des Etats Unis. Le décor de cette épreuve est constitué d'un dédale d'arbres dénudés, de ronces hérissées de griffes, de pentes abruptes et d'une météo capricieuse.

L'organisateur de la course, Lazarus LAKE, trace depuis 1986 un parcours extrêmement escarpé, non balisé, hors sentier, qu'il ne révèle que quelques heures avant d'éteindre sa cigarette: le signal du départ. Il souhaite que la Barkley ne soit terminée que par un pour cent des partants. Chaque année la difficulté croît et les règles se compliquent à mesure que le niveau des concurrents augmente. Cette année il fallait parcourir 200 km et 20000 m de dénivelé positif en moins de 60 heures. Les 40 concurrents sélectionnés par l'organisateur campent à l'orée du bois, au coeur du parc naturel de Frozen Head, en attendant le départ dont ils ne connaissent pas l'horaire exact, bien souvent dans le vent, la pluie et le brouillard.

Au total, la Barkley ne compte que 15 finisseurs à son palmarès en 33 éditions. Ils forment une communauté discrète, sans gloire ni trophée. De nombreux athlètes de haut niveau y ont échoué, des amateurs y ont triomphé.

Cette épreuve fait l'objet d'un ouvrage intitulé "Les Finisseurs - la Barkley racontée" par Alexis BERG et Aurélien DELFOSSE aux éditions Mons.


Robert

DE BRUXELLES A NAZARE

 De Bruxelles en 1984 à Nazaré en 2016.


Le confinement a tout de même un bon côté, celui de nous amener à ouvrir l'album aux souvenirs.

En me plongeant dans mes archives j'ai découvert que sur plus de 700 courses disputées dont 40 en 1988 . . . et seulement 1 en 2002 à cause d'un palpitant connaissant quelques ratées (ceci explique peut être cela), 22 ont été disputées à l'étranger, de Bruxelles en 1984 à Nazaré en 2016 en passant notamment par Berlin, New York, Londres, Amsterdam ou bien encore Zarzis. (1)


New York en 1989 et Londres en 1992




Amsterdam et Zarzis en 1997 pour mes 50 ans.

La moitié très précisément ont eu pour cadre la région de Zaanstad aux Pays Bas où ma fille et son mari ont résidé pendant quelques années. Je conserve un excellent souvenir de ces dernières qui pour la plupart se sont disputées au milieu des polders (étonnant non?). C'était au sein de petits pelotons dans une ambiance bon enfant, j'étais le seul "étranger" donnant ainsi un caractère international à ces courses . . . Les participants arrivaient à vélo dans la 1/2 heure précédant le départ, heureux de se retrouver, les formalités d'inscription étaient vite effectuées. La course terminée tout ce beau monde se retrouvait pour le pot de l'amitié au club house de l'association organisatrice et se donnait rendez-vous pour la prochaine.



Ma fille et mon gendre demeuraient un peu plus à gauche de la photo et ce polder était le lieu de mes entraînements. Les 3 moulins et les maisons qui les précèdent sur la rivière le Zaan font partie d'un écomusée: le Zaanse Schans

(1) 11 aux Pays Bas, 3 en Italie, 2 en Allemagne, 1 en Belgique, 1 en Angleterre, 1 aux U.S.A. 1 en Suisse, 1 au Portugal et 1 en Tunisie.

Toutes mes courses sont consignées dans ces classeurs.


Robert



DE MALIKA ET JACQUES


 Coucou: voici notre nouvelle tondeuse bio. . .

LA SPECIALITE CULINAIRE DU VAL'D'AJOL

 



Suite de l'article intitulé "sur les traces de Ghyslaine".

L'andouille: réponse de Michel VIEUX à la question quelle est la spécialité culinaire du Val d'Ajol ?



Fixée au 3e lundi de février par une ordonnance de Louis-Philippe en 1831, la foire proprement dite se déroule le dimanche avec un marché une dégustation-vente de produits du terroir, un salon du livre régional, des animations et une fête médiévale. La fête continue le lundi avec un marché forain, encore des dégustations-vente et la remise du Grand prix littéraire de l’andouille.

La tradition de l'andouille vosgienne se perpétue au Val-d'Ajol depuis des siècles. La foire aux andouilles est l’une des plus anciennes fêtes gourmandes de France.
Ici, on ajoute de la chair à saucisse à la traditionnelle panse de porc. Goûtez au gandoyau, une andouille de 20 à 30 cm de long .

Robert

LE SOUFFLET DE NOVEMBRE

 

SOUFFLET N° 337 novembre 2020

(Parution mensuelle de l'A.C.C.F.)

Blog : http://accf1985.blogspot.com/

Email. Accf1985@gmail.com


Lina et Gérard depuis Courseulles sur Mer, Ingrid et Michel depuis Vitry sur Seine, Didier depuis Trappes en Yvelines, Michel depuis Maisons-Laffitte et Robert depuis Leuville sur Orge ont participé à l'audioconférence du 17 novembre.

Des nouvelles :

du Vieux Soldat qui va très bien et dont les ennuis de santé ne sont plus qu'un lointain souvenir. Pour sa sortie quotidienne il passe devant le commissariat de police très proche de son domicile mais aucun contrôle pour l'instant; son surnom y est peut-être pour quelque chose ! ! !

de Christian GUILLOPE qui est toujours auprès de sa maman.

de Didier, il rend visite à sa maman une fois par semaine, sans oublier les sorties à vélo et les parties de scrabble. Il nous a invités à nous rendre sur YouTube pour découvrir d'autres concerts de la chorale du temps libre de Pomas, chère à l'ermite de Saint Hilaire.

de Jean-Pierre VOUILLEMY, qui alterne sorties à vélo, marche et jogging sans oublier le jardin !

de Yves, pour qui il en est de même mais il exerce aussi ses talents d'aquarelliste; un hic toutefois, avec Maryvonne, ils sont confinés chacun de leur côté.

Sur les conseils de Jean-Pierre GREAU, (n'en croyez pas un mot), Ingrid et Michel, ont fait l'acquisition d'un vélo d'appartement, manière d'éliminer les petits verres de rhum. . . . Nos amis n'ont pas pu bien entendu effectuer leur annuel voyage à Cuba, ils étaient toutefois prévoyants puisque en 2019, ils s'y sont rendus à 2 reprises. Leur traditionnel séjour au Chalet Pierre Sémard à Montroc le Planet semble aussi compromis. Michel a malheureusement perdu sa maman le premier jour du confinement.

Lina et Gérard ont évoqué leurs vendanges dans le beaujolais où il faisait chaud. . . Les plages de Courseulles sont ouvertes, les sorties quotidiennes sont par conséquent agréables; quant à un séjour à la neige à Saint Gervais ? ? Ils nous ont donné des nouvelles de Jacques MAILLET pour qui ça « Plasnes » dans sa longère près de Bernay.

Michel VIEUX a indiqué qu'à Maisons Laffitte, sur décision du maire, les petits commerces demeuraient ouverts. Il a aussi révélé que la spécialité culinaire du Val d'Ajol (cf. voir article sur le blog) était l'andouille de quoi rendre jaloux les Normands. . . mais aucune similitude entre ces deux variétés.

Suite à un article sur Nazaré paru dans le magazine L'Equipe dont des extraits ont été publiés sur le blog, Maryvonne et Sylvie, par email, ont évoqué les agréables séjours que l'amicale y a passés. Il semblerait que la statue au Sitio près du phare, représentant un personnage avec une tête de cerf et tenant un surf, daterait d'après leurs archives de 2017.

Enfin nous ne pouvons pas fermer ce Soufflet sans fêter les natifs du mois : Monique CHOUQUET, Martine TOSTAIN ainsi que le Vieux Soldat. Monique et Jean-Claude ont pu le célébrer avant le confinement mais pour Martine il en est tout autrement; faisons confiance à Michel.

La prochaine audioconférence est fixée au mardi 15 décembre à 14h00.

 N'oubliez-pas de cliquer sur le lien ci-dessous pour suivre au jour le jour toute l'actualité de notre amicale; http://accf1985.blogspot.com/


Robert


MARYVONNE ET SYLVIE EVOQUENT NAZARE.


Je me replonge dans mes photos. J'aperçois le surfeur Mc Namara. Je crois que la statue y était ! Je dois l'avoir sur un autre disque dur. Je l'ai : elle date la mienne de 2017. Bref voilà 3/ 4 ans jour pour jour nous y étions. Ca nous manque les sorties comme ça ! Le confinement nous permet de visionner les photos de nos sorties.

Soyons patients et protégeons nous afin de se retrouver en parfaite santé mais avec nos bobos !!! par exemple pour l'A.G.!!! 

Une Selloise confinée seule et oui ! à quand les 100kms ! Heureusement le tel. permet des échanges avec Yves





Maryvonne

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Quels beaux moments ! ! !On devrait être là-bas, mais voilà la COVID nous empêche de retrouver nos amis Portugais ....et bien d'autres moments familiaux et amicaux, 2021 sera t'il mieux je l'espère comme beaucoup d'entre nous je pense.

Bon concernant la statue impossible de la retrouver dans mes photos "numériques", Michel l'a peut-être ?? 2017,  2018? ?? Je dirais 2017 et certaine de l'avoir vue.
Je vais mener une enquête.

Sylvie

ENVOI DU VIEUX SOLDAT


 Le nouveau masque antivirus de notre club.

LE COUREUR

 Le coureur

Je courais sur la plage abritée des alizés
Une course avec les vagues, juste un vieux compte à régler
Pieds nus comme couraient mes ancêtres
Oh j'ai bien vu derrière ses lunettes
Un type avec un chronomètre
Je suis rentré au soir quand les vagues ont renoncé
Il était déjà tard mais les parents m'attendaient
Y avait l'homme bizarre à la table
Ma mère une larme, un murmure
Des dollars et leur signature
J'ai pris le grand avion blanc du lundi
Qu'on regardait se perdre à l'infini
J'suis arrivé dans le froid des villes
Chez les touristes et les automobiles
Loin de mon ancienne vie
On m'a touché, mesuré comme on fait d'un cheval
J'ai couru sur un tapis, pissé dans un bocal
Soufflé dans un masque de toutes mes forces, accéléré
Plein d'électrodes
Pour aller jusqu'où j'avais trop mal
On m'a mis un numéro sur le dos
Y avait des gens qui criaient, des drapeaux
On courait toujours en rond
Des clous aux deux pieds pour écorcher la terre
Je la caressais naguère
J'ai appris à perdre, à gagner sur les autres et le temps
À coups de revolver, de course en entraînement
Les caresses étranges de la foule
Les podiums et les coups de coude
Les passions, le monde et l'argent
Moi je courais sur ma plage abritée des alizés
Une course avec les vagues, juste un vieux compte à régler
Puis le hasard a croisé ma vie
J'suis étranger partout aujourd'hui
Était-ce un mal, un bien
C'est ainsi

NAZARE. LE MUR DU FRISSON


 Senhoras e Senhores

Ci-dessous quelques extraits et photos du reportage publié dans le magazine L'EQUIPE n°1994.

"Le 29 octobre dernier l'ouragan Epsilon a fait déferler des vagues gigantesques de 20 à 30 mètres sur le spot mythique de Praia do Norte à Nazaré. Un rendez-vous immanquable pour les meilleurs surfeurs de gros de la planète qui ont fait le spectacle: l'Hawaïen Kai LENNY  n'a cessé de défier les immenses montagnes d'eau, dans cette apocalypse océanique, il est dans son jardin; considéré comme le meilleur surfeur à Nazaré, le Brésilien Lucas"Chumbo" CHIANCA a pris la bombe de la journée avec un ride surréaliste sur une vague très creuse d'environ 30 mètres de haut; la Française Justine DUPONT qui s'installe à Nazaré tous les hivers depuis 4 ans, confirme qu'elle fait partie des meilleures spécialistes du spot, elle a été deux fois tractée par la légende Garrett McNAMARA et a sans doute pris la plus grosses vague de sa vie".

Nous n'avons pas le souvenir de la statue qui représente un homme debout avec une tête de cerf et une planche de surf, était-elle déjà là en 2016?






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Nous tenons une fois encore à remercier Michel D. pour l'organisation de ce dernier déplacement à Nazaré.

Multo obrigado Michel.

Ghyslaine et Robert

SUR LES TRACES DE GHYSLAINE

La maman et le papa de Ghyslaine travaillaient dans ce tissage, ne la cherchez pas toutefois sur la photo......



Ils habitaient au 2ème étage dans la maison de droite à quelques centaines de mètres de l'usine mais leur première voiture a été une 4CV.. . . .




L'usine et la maison en bas à gauche dans l'angle entre la route et le chemin.
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Le lieu-dit Courupt appartient à la commune du Val d'Ajol dont je vous laisse découvrir la spécialité culinaire.

A bientôt.

Robert



 

DEPUIS COURSEULLES SUR MER


 Tout va bien, nous n'avons pas le choix le reconfinement se fait à Courseulles.

Voici un beau coucher de soleil.





Je m'entraîne toujours avec mon coach du club de St Gervais, il nous envoie 2 fiches par semaine.(ci-jointes si ça intéresse les amicalistes) et entre deux, je fais 1 heure de vélo.





Prenez bien soin de vous.
Sincères amitiés.
Lina et Gérard

DEPUIS LEUVILLE


 Une réalisation de notre fille Muriel.

Ghyslaine et Robert

LE MOIS NOIR


"L'océan s'apprête à raconter la seule véritable épopée de notre hiver, celle de ces femmes et de ces hommes, seuls, lancés autour du monde. Dans la mer si grande, sur leur bateau si petit, leur vie dans l'immensité nous rappellera à notre sort absurde et dégradant : une heure, un kilomètre. Plus que jamais, aimer le sport consiste à le vivre par procuration".

Extrait de la chronique de Pierre ADRIAN intitulée "le mois noir" publiée dans le magazine L'Equipe du 7 novembre 2020

DEPUIS OISSEL

 


Hello

Voici le dernier billet de François Morel  qui dit de belles choses sur ce temps que nous vivons collectivement. Je voulais vous le partager. 

Lucien DELAIR

:« Je me souviens, le premier confinement, je ne l’avais pas mal pris. Il avait fait beau, on mangeait dehors. Je dinais à heure fixe, ça me changeait. Je réussissais à perdre du poids. J’écrivais. J’ai travaillé mais de manière différente. J’ai regardé des séries. Et puis surtout, j’ai profité de mes proches. Ce fut une parenthèse pas désagréable. Tous les soirs à 20h, comme tout le monde, j’applaudissais le personnel hospitalier. Je me disais que ce n’était pas si mal un pays qui, plutôt que son économie, privilégiait notamment la vie de ses vieux.
Le deuxième confinement, j’ai moins aimé. D’abord, plutôt que vers le printemps, on allait vers l’hiver. On était un peu démoralisé. On se demandait combien de temps ça allait durer, s’ils allaient bientôt réussir à trouver un vaccin. Le soir, à 20h, on n’applaudissait personne. C’est pas quand on met les radiateurs qu’on va ouvrir les fenêtres en grand.
Le troisième confinement, c’est là que l’explosion de la vente des chiens a explosé. C’était encore le meilleur moyen de justifier les promenades en forêt. Ceux qui n’avaient pas les moyens de s’acheter un chien s’achetaient juste une laisse. Quand ils croisaient des gendarmes, ils se mettaient à courir la laisse à la main en criant Sultan ! Sultan ! Reviens ! Reviens Sultan, reviens !
Le quatrième confinement, c’était l’anniversaire de la mort de Samuel Paty. Certains ont eu l’idée, (ça partait d’une bonne intention),  d’applaudir tous les soirs à 20H les professeurs des écoles, des collèges, des lycées. Ça a fait des polémiques. Certains ont pensé que ça pouvait passer pour une provocation.
Le cinquième confinement, je ne m’en souviens plus trop. Je crois que j’ai commencé à boire le premier jour et je suis resté torché pendant les six semaines. Je buvais. Parfois, je vomissais pour faire de la place. Puis je rebuvais…
C’est surtout à partir du sixième confinement que j’ai repris du poids.
Je me souviens que entre le septième et le huitième confinement, je ne suis même pas sorti de chez moi, j’avais perdu l’habitude.
Pendant le neuvième confinement, en ouvrant la fenêtre, j’ai le voisin d’en face qui travaille dans le BTP qui m’a crié « Vu votre nouvelle silhouette, vous devriez peut-être faire élargir vos portes au cas où vous auriez envie de ressortir de chez vous entre les deux prochains confinements. « De quoi je m’occupe ? » j’ai répondu en refermant la fenêtre.
Le dix-septième confinement, je me souviens, on a regardé plein de films, des vieux trucs, des comédies sentimentales. Les enfants étaient quand même étonnés, ils ne comprenaient pas quand ça finissait bien, pourquoi le monsieur et la dame, se sentaient obligés de se frotter la bouche l’une contre l’autre, parfois même de sortir la langue en guise de contentement ? « C’est dégueulasse, ils disaient, c’est pas hygiénique et puis ça sert à rien… »
On ne leur répondait pas trop, on avait peur de passer pour des parias, on avait de la nostalgie…
Voilà. J’arrive bientôt à mon vingt-troisième confinement. D’une certaine manière, ça passe vite la vie confinée quand on est dans la torpeur.
Pour les jeunes, on est des dinosaures. Ils nous demandent « Mais avant quand ça n’existait pas les confinements, qu’est-ce que vous pouviez bien faire toute la journée à traîner dehors ? Et pourquoi vous étiez obligés d’être en présentiel pour prendre un apéro avec des potes alors qu’avec Zoom c’est tellement plus pratique ?»
On fait comme si on n’entend pas.
On attend la nuit pour pouvoir faire des rêves de baisers, de poignées de mains, d'étreintes, de terrasses, de cinémas, de théâtres. Nos rêves d’aujourd’hui, c’était le quotidien d’hier. »
François Morel

❤

DES NOUVELLES DE ROIFFE

Ici le soleil est présent on en profite pour nettoyer et ranger les salons de jardin je pense qu'ils ne serviront plus . . . . Les feuilles tombent, les arbres se dénudent, côté confinement et bien on se retrouve "seul" à la maison après avoir vu tous les enfants il y a 8 jours, ensuite garde des petits enfants puis sortie en Normandie pour les ramener aux parents. 

Maintenant je suis en mode "rangement et lavage, repassage"
Voilà de nos nouvelles.
Sylvie

SOUPLESSE EXIGEE . .


 Envoi de Michel VIEUX