Réunion de bureau du 8 mars 2022 (Journée de la Femme).
La réunion se tient à Oissel, au Rendez-vous des gourmets, où nous avons désormais nos habitudes. Nous sommes accueillis par le patron qui est également le chef en cuisine. Ce matin, il sifflote, il est d’excellente humeur, plaisante sur le passe-sanitaire et nous invite à attendre le retour de la patronne avant notre installation dans la salle qui a été réservée par le Vieux Soldat.
Sont présents : Ingrid S. et Michel R., Christian G., Jean-Claude L. souffrant d’une déchirure musculaire, Jean-Claude S. et votre serviteur Michel V. Sont excusés le Président Robert V. et le Trésorier Didier M. Les époux LELEU sont à la montagne d’où ils nous feront un petit coucou. Nous sommes sans nouvelles de Lucien DELAIR.
Robert nous appellera pour nous signaler qu’il a été malade durant la nuit, qu’il a fait appel aux pompiers, a été admis aux Urgences où il a très longuement attendu pour un résultat des plus décevants.
J’ai été chargé par le Président d’animer la réunion et d’en assurer le compte-rendu.
Tout le monde participe formidablement, je commente les documents fournis par Didier sur les adhésions et l’état du budget.
Un point est fait par JC S. sur les retardataires concernant la cotisation et les inscriptions à l’AG d’octobre à Saint-Mandrier-sur-Mer. Il y a 34 inscrits. Jean-Pierre MORDO a pris du recul vis-à-vis de l’amicale, Jean Paul LE METAYER, Nelly et Patrick LANNEFRANQUE ont choisi de ne plus adhérer. On se demande si les époux TOSTAIN ne sont pas en train de faire de-même?
L’AG se fera sur trois jours, avec arrivée dans l’après-midi du dimanche et départ l’après-midi du mardi pour 13 d’entre nous, 21 ont choisi de rester toute la semaine.
L’amicale prendra en charge l’apéritif et la visite d’un musée qu’il reste à déterminer.
Après avoir aussi bien travaillé, un apéritif nous est offert par Ingrid en l’honneur de toutes les Femmes. Grâce lui soit rendue.
Le repas est toujours aussi bon, de la nourriture saine et fraiche. Les assiettes repartent en cuisine propres comme des sous neufs.
Pour repartir sur Paris, il ne reste plus désormais que le train de 15h24. Christian, très obligeamment, propose à ceux qui le désirent d’aller boire un petit calvados dans sa maison dominant la vallée da la Seine. Personne ne se fait prier, en dehors de votre serviteur, qui doit garder les idées claires pour ramener tout son petit monde à la capitale, ce qui fut fait sans encombres et à l’heure, à l’aller comme au retour.
Michel VIEUX