RECRUDESCENCE DE TAGS DANS LES ENCEINTES DU CHEMIN DE FER :
Je suis allé aujourd’hui à la capitale, en dehors des heures de grande affluence (dites de pointe par les marchands de visserie).
J’ai emprunté le chemin de fer, muni de mon rendez-vous à l’Institut Montsouris et chaussé de mon masque breveté par l’armée, c’est vous-dire s’il est réglementaire.
Les rames des RER A et B étaient peu chargées. Mon voisin le plus proche était à la distance physique imposée et peu disert.
Au retour, j’ai fait une escale en gare de Sartrouville, mon fournisseur de pain à la farine de maïs portugais ayant repris son licite commerce.
Et là j’ai constaté que les tagueurs n’avaient pas chômé durant le confinement, comme vous le prouveront mes clichés.
J’ai pris mon (mes) pied(s).
Michel V.
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